Trans – Alpes Magnus 2850K
Notre ADN à La Baroudeuse Bikepacking Adventure, ce sont les montagnes, les sommets, les cols, l’altitude, les météos imprévisibles, les massifs, les collines, les contreforts, les pistes, les vallées, les routes secondaires, les villages perchés, les animaux emblématiques, le côté sauvage des lieux, le défi qu’elles représentent.
La Baroudeuse Bikepacking est fière d’annoncer la deuxième édition de la Trans – Alpes Magnus 2850K qui aura lieu du 15 aout au 30 aout 2020. Elle prendra son départ en Slovénie à Ljubljana pour arriver à proximité de Nice, au village médiéval de Peille.
L’itinéraire du parcours sera dévoilé d’ici fin février et offrira de belles nouveautés ! Les 5 pays que sont la Slovénie, l’Autriche, l’Italie, la Suisse et la France sont incontournables.
Ce qu’on souhaite vous faire vivre, c’est une expérience qui vous marquera à vie, un défi physique et moral qui vous obligera à vous dépasser. Notre expérience nous ramène toujours à ce qu’il y a de plus beau en vélo et c’est les montagnes. Nous aimons le plat, il est reposant c’est vrai, mais quand tu veux voir ce qui est beau, tu dois prendre de la hauteur pour contempler ce que la nature nous offre.
Nous aimons le vélo, nous aimons voyager, nous savons ce qui transcende le plus les âmes éprises de défis physiques à la hauteur de leurs espérances. Voilà pourquoi la Trans – Alpes Magnus 2850K est née.
Parce que vous serez fiers de pouvoir dire :
- J’ai traversé l’intégralité de l’Arc Alpin de l’est vers l’ouest en vélo.
- J’ai gravi plus de dénivelé en 12 jours (+ ou -) avec mon vélo qu’en un an avec ma voiture.
- J’ai pu contempler la voie lactée au sommet d’un col mythique à 1h27, c’était incroyable.
- J’ai eu des moments euphoriques, d’autres de doute à la limite de l’abandon mais j’ai gagné ma liberté et je ne me savais pas capable de ça, j’en reviens toujours pas d’être parti de Slovénie et en être là aujourd’hui.
- Je voulais voir les montagnes et je retiendrai aussi ces magnifiques lacs d’une eau turquoise indescriptible.
- J’avais l’impression d’évoluer dans un tableau vivant aux décors constamment changeants, toutes ces couleurs c’était wouaaaahhhhh.
- Il ne faisait pas très beau ce jour là, c’était chargé en nuages, j’ai pris de l’altitude pour passer d’abord dans ces épais nuages froids, c’était le « mordor » lorsque tout s’est envolé d’un coup ! j’ai alors pu pédaler au dessus d’une mer de nuage incroyable avec un ciel si bleu. Je n’ai plus eu froid, j’ai oublié toutes les difficultés et je contemplais la Terre vue du ciel.